La location saisonnière : 3 pièges à éviter

Piège n° 1 : choisir sa location au « hasard »

Beaucoup pensent qu’il revient moins cher d’aller éplucher les petites annonces en ligne ou dans les journaux. Ce n’est pas une mauvaise méthode en soi. Cependant, il faudra s’assurer que le logement proposé est classé « meublé de tourisme » ou contrôlé par des réseaux comme les « Gîtes de France ». C’est un gage de qualité et de conformité du bien. 

Dans l’idéal, il vaut mieux se fier à l’expertise d’un professionnel de la location saisonnière comme L'agence Rossi Immobilier Cannes pour avoir une garantie sur le logement.

Piège n° 2 : passer en survol les détails du logement

C’est une grave erreur à ne pas commettre. Avant de réserver, il faut toujours vérifier la qualité et l’état du logement. Autant que possible, il faudra se déplacer pour avoir un aperçu direct ou demander des photographies le cas échéant. 

Une fois que l’on a arrêté son choix, il faudra demander un descriptif des lieux au propriétaire pour éviter les mauvaises surprises. C’est un descriptif rendu obligatoire par un arrêté (n° 25-305 du 16 mai 1967). 

Piège n° 3 : expédier le contrat à la va-vite

Après réception et lecture du descriptif, on peut passer à la réservation. Pour conclure l’entente, il est préférable de rédiger un contrat bien que ce soit non obligatoire. Dans ce document, devront figurer les caractéristiques et règles restrictives du logement (nombre de personnes à résidence par exemple). 

Auquel cas où le locataire constate un défaut dans le document après la signature du contrat, divers recours s’offrent à lui : une diminution du prix de location ou une annulation du contrat avec remboursement intégral. Il devra appuyer ses revendications avec des images et éventuellement, un constat d’huissier dans les trois jours après réception des clés.